En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Mémé avait dit à sa petite fille « Quand une fille siffle, c’est le diable qui l’entend «
La petite fille était perplexe, elle rêve d’apprendre à siffler
Comment tu fais pour siffler Maman ?
J’essaye d’expliquer, souffler, aspirer, donner une mélodie
Rose veut apprendre à siffler, elle demande l’aide à son papa, il est bon professeur, elle progresse vite
L’autre soir, mon ange, mon adorée, me dit dans la voiture
« Mamoune, j’ai eu mes 5 minutes de gloire ! «
« Oh oh, raconte «
Pour la fête de l’école, les élèves de sa classe ont appris « heureux qui comme Ulysse « de Rydan
Lors d’un pont musical, la maitresse à demandé aux enfants si quelqu’un pouvait siffler, Rose s’est lancée, et les élèves ont été impressionnées, la maitresse lui a dit que c’était très bien, et elle aura le micro, toute seule le jour des représentations
Rose est SUR un petit nuage, elle a ressenti le rejet durant toutes ses années de primaire, et la moquerie, ressenti, pas forcement vécu, et la voilà fière d’être reconnue
Je lui avais assuré que chacun, chacune avait son moment de reconnaissance, mais que parfois c’était long, qu’il fallait savoir attendre, que rien n’avait par hasard, que les élèves les plus populaires n’étaient pas au final les plus gracieux
Rose danse, rit de bon cœur à longueur de journée, me dit que tout est bien, l’école, les vacances, n’angoisse plus pour son entrée au collège
Elle est allée voir un docteur de l’âme
Cette femme lui a dit qu’elle était curieuse, dans les deux sens du terme, curieuse de connaitre le monde, préoccupée par les notions de vie et de mort, éternelles angoisses de séparation et de solitude, mais qu’elle suscitait aussi une certaine curiosité
Rose n’est pas « commune «, elle est indépendante, ses rêves et son imaginaire lui suffisent à remplir en partie ses temps libres, c’est ainsi, elle n’a pas besoin d’être entourée de monde, elle vit sa petite vie à elle
Et ce n’est pas un problème, elle est sociable, à sa façon
Elle suscite l’attirance ou le rejet, elle devra composer avec ça longtemps
Certains adultes le comprendront, d’autres pas
Le docteur de l’âme a bien cerné ce que j’avais analysé chez ma fille, elle a mis en mots, autrement, rassuré mon ange
Ma Rose va bien, elle gambade, saute, se raisonne, prend des décisions, assume ses erreurs
Ma fille, je l’avais dit, on t’aidera, faut ne pas faire l’économie de ça
Siffle, chante, mon ange, pleure, vis ta vie à toi ….
Après une pause café dans la maison de notre adorable Tilleul, nous avons repris la route en direction de Bruxelles
Pas vraiment équipés de cartes ou de GPS, nous avons mis un certain temps pour trouver notre hôtel
Dans la petite rue, le commerce battait son plein, » la marchandise « fait des allers et venus, talons aiguilles et jupes courtes, poitrines généreuses
Damned !!! J’ai la trouille d’avoir réservé dans un hôtel de passe
La frayeur passée, la suite était propre et spacieuse, ouf, Mark était très mal à l’aise et je le comprends
Ellen branche son PC, et va direct aux nouvelles sur FB
Les quelques candidates venues pour déposer leur dossiers en logopédie sont formelles, il y a déjà 100 personnes à attendre sur le trottoir
Sans hésiter notre fille décide de les rejoindre aussitôt, il est 21 heures
Les portes ouvriront le lendemain à 9 h
Je ne cherche pas à la retenir, c’est son choix, ça me rend malade, malade, de la savoir là, préparant une nuit entière d’attente sur un trottoir
Je lis vos gentils messages qui me réconfortent énormément, Jérôme l’accompagne, et mon fils reste avec moi
Pas envie de ressortir, juste envie que le soleil se lève
Jérôme met beaucoup de temps à rentrer, il se perd dans la ville …
J’attends, j’envoie des SMS à Ellen, elle a le moral
Vers minuit, nous décidons de dormir un peu, réveillée vers deux heures, Ellen à froid, pas équipée pour sa nuit, je la rassure comme je peux
Un peu de sommeil en plus, elle nous relance vers 5h30 « vous arrivez quand ? «
On se prépare, le moment est venu d’aller la retrouver, le soleil est levé, les filles ont fini de tapiner, la ville est silencieuse, je paye et on rejoint l’école
Ellen est épuisée, elle ne tient plus debout, j’ai envie de pleurer devant un tel chaos, une telle aberration, ça se confirme, il y aura 300 places en logopédie (ortho) et les premiers seront servis
Des parents ont donné un numéro afin d’éviter le rush à l’ouverture des portes, Ellen a le 139
Nous discutons avec des parents, certains sont imbuvables, ne quittant pas d’une semelle leur choupinette, d’autres sont stoïques, c’est comme un début de concert unique, c’est surréaliste
La file d’attente grandit, peut être 1000 personnes
Un homme qui pousse sa valise demande quelques éclaircissements
Ben ça alors, c’est Dany le Rouge en personne !
On cause un peu, il n’a pas de gardes du corps, il garde des pavés dans ses poches, au cas où
Des grosses voitures noires vitres tintées défilent en vue du sommet européen, la télévisons belge est revenue, Ellen tient le coup
Un habitant a ouvert son appartement une partie de la nuit pour les toilette s, un autre est venu avec des bouteilles et de la nourriture, la solidarité des belges est touchante, vraiment …
Le soleil donne, 9 heures, ouvertures des portes, par dix, les candidats déposent leur dossier, à 10 h30 Ellen est libre !
Il est fort probable que bon nombre de jeunes devront revenir le lendemain
J’ai hâte de rentrer
Rien vu de Bruxelles, dommage, pas de crinolines, sur la Place Ste Catherine, je pense fort à ma Coumarine, j’aurais vraiment aimé la retrouver …
Ellen s’écroule de sommeil dans la voiture, nous nous relayons pour la conduite, mark est adorable, assez bouleversé par le courage de sa sœur
Nous rentrons tous les quatre
Les chats nous font un bel accueil
Je vais chercher ma Rose chez Juliette, il fait très chaud
Je suis fière de ma grande fille, elle a tout géré seule pour la préparation des dossiers
Les dès sont jetés, réponse mi juillet
Elle prend la décision de terminer sa licence si elle n’est pas retenue
A l’origine de ce blog, la chose était aisée, donner le lien a des personnes de mon entourage
J’étais assez fière de me lancer dans cette aventure de bloggeuse, je pourrais dire maintenant, peut être inconscience de mettre un pied dans cette jungle
Je le faisais avec des personnes de confiance, la plupart d’entre eux se montraient encourageantes, certains ne gardaient pas le lien, et heureusement …
Et puis, il y a eu les visites d’autres blogueurs, avec ce qui va avec, les amitiés que l’on dit virtuelles, blogs éphémères, et autres histoires solides
Au fil du temps, j’ai arrêté de donner le lien, par pudeur, avec toujours cette petite culpabilité à me raconter sur le Net, peur du jugement, peur d’aller trop loin
Etrangement, je vois dans mes mots clé « anecdotes d’hier et aujourd’hui «, je me dis que cette requête est claire, c’est bien moi qu’on cherche, on ne peut être guère plus précis
Forcement, cela m’interroge
Il y a quelques temps, j’ai été piquée un grand sentiment de culpabilité, j’avais peur, peur de ne pas avoir été comprise sur un billet, peur d’avoir froissé une personne chère
Et lorsque je me suis retrouvée face à elle, j’ai vite vu qu’il n’en était rien, bien au contraire, que les liens étaient toujours forts, aussi chatoyants que mes astromères en fleurs, c’était le signe dont j’avais vraiment besoin
Alors, j’ai osé poursuivre en douceur ce partage, convaincue que ce blog était certes une histoire de vie ordinaire, mais que cette vie ordinaire était épicée de gens extraordinaires et que ceux là, avaient cette aptitude à recevoir mes mots, je le sens, je suis mes intuitions
De toute évidence, les mots peuvent changer une relation, je l’ai vécu intensément il y a quelques jours, il y a des choses qu’on ne parvient pas à dire et il faut l’accepter, sans jugement, nous ne sommes pas tous doté de cette capacité à entrer en contact direct
Est un vrai problème au fond ?
Certainement pas , si les mots peuvent ouvrir une porte, casser une barrière , il n’y a pas de raison de se priver de ses outils là, d’ailleurs il existe mille et une façon de verrouiller un portillon (chaine, targette, verrou, barre …..)
Avec ce risque constant de l’interprétation erronée, un risque à prendre, petit risque, petit jeu, qui se changement pas foncièrement le cours de l’histoire
Si vous me connaissez que par ce blog, vous savez tous qui je suis, mon identité ‘est pas un mystère, même cachée sous un pseudo, vous la connaissez la Jeanne
Evidemment, je ne souhaite pas ouvrir cette maison virtuelle à tous, elle reste le refuge de quelques proches
Je garde toujours en tête la genèse de ce blog , raconter à qui veut bien l’entendre , des petits bouts de vie ,ouvrir des petits tiroirs de souvenirs qui parfois débouchent sur d’autres boites , coffrets et senteurs d’hier , ne pas surfer sur la vague du passé et de la nostalgie , donner peut être l’envie à d’autres de pousser la porte de l’écriture
Amis lecteurs de la vraie vie, amis de la Toile d’araignée, que vous soyez bavards ou silencieux, sachez tous, sans exception que je vous accorde ma plus grande confiance
Que vous soyez 10 ou 300 à me lire chaque jour, je sais que cette maison est calme, enjouée, ouverte et protégée
La matinée à passé très vite, je pensais faire pas mal de choses, mais ….
Toujours la même angoisse, oublier un petit truc qui a son importance j’ai shecké au moins cinq fois avec ma grande et jolie fille
Le moment venu, nous montons dans la Clio avec Ellen qui chante pour la première fois avec nous, on prend Pierrot Bâton au passage, direction la salle Po
La salle est vide de monde, la scène est vivante, les danseurs des valses répètent
On se met d’accord sur deux ou trois petites choses encore après avoir posé sacs et valises dans des vestiaires un peu nauséabonds faut bien le dire
16 H, balance son, dans un bon climat, pas trop chaud sous les projecteurs, les choses s’annoncent bien, très bien
Les déplacements pour les tableaux semblent fluides et calés, c’est prometteur
18 H, nous quittons la scène, je vais poser quelques affiches sur les portes avec Tinou, Pierre Alain nous a rejoins, j’aime ce moment là, la petite touche finale
Quelques papotages avec Léandre et Tristan au retour, Patricia aussi, on se croise les uns les autres, j’embrasse très fort Paul qui vient d’arriver, il me dit qu’Eléonore me cherche, je vais chercher mon sandwich
Nous mangeons dehors en bonne compagnie, ça c’est bon aussi, se poser entre copains
Le moment est venu de se passer les tenues, pas de tables, pas de chaises, c’est le bazar dans ma valise, Clotilde m’appelle, je lis des gentils SMS, merci les filles
20H45, la salle est bien remplie, pas loin de 1800, ça fait du monde qui patiente, faut y aller
L’entrée est tonique, petites scénettes sur les BOF de la panthère Rose, Mission impossible et James Bond, j’adore !!!!!!!! suivi d’un « Century fox vocal «
Les chansons s’enchainent, presque trop vite, le medley Sistre Act est bissé, c’est la première fois que ça nous arrive, on le refait
Le public est chaleureux, toujours pour la grande Messe
22h 15, entracte, le moment est venu d’enfiler les collants noirs, faut prendre sur soi, les petites robes noires sont ravissantes, on est fières avec nos talons
Au toilettes, je tombe sur Camille, émue, vraiment très émue, et Maggie en compagnie de Salomé, qu’est ce que c’est bon ça !
C’est confirmé, le Ministre est dans la salle
Au sous sol les musiciens de l’harmonie font leur déplacement, sous une haie d’applaudissements, j’imagine le cœur serré des gamins d’une douzaine d’années, quel magie pour eux aussi
22H et des brouettes, Théodore nous coach un peu, la deuxième partie doit être aussi bien !
Montée sur scène sur la musique de Rabbi Jacob, purée que c’est bon ça, trop, trop bien
On enchaine avec le Medley Disney, l’histoire de la vie me fait frissonner,
Pas de sensation de fatigue, les morceaux interprétés par le petit chœur sont réussis, voilà, ça valait le coup
Je lance des regards complices à notre pianistefou, quel vitalité, j’admire son travail, sa ténacité, son audace aussi
Serena nous fait vibrer sur The Rose, y’a pas de mots, quand le mot soliste prend cette place là
Les titres, les déplacements, tout s’enchaine admirablement bien, on peut dire que le groupe a pris de l’expérience, le public ovationne, Paris en Colère, le medley des grands thèmes, et voilà, c’est déjà le moment de merci
Monsieur le ministre est applaudi chaleureusement, j’imagine qu’à ce moment là il devait se sentir profondément entouré, et ce n’est pas du show, y’a des gestes qui ne trompent pas
Fulbert me dira plus tard qu’il a payé sa tournée à tous ceux qui passaient par là
Un rappel, beaucoup de chaleur, et il faut se rendre à l’évidence, le spectacle est fini
Le générique de fin défile sur l’écran , j’y voit mon nom , c’est bête , un rêve de gosse qui se réalise
Le moment est précieux , retrouver les proches ,Jérôme , Mark et Rose embrasser ceux qui sont venus , je croise la famille de mes copains , la maman d’Eléonore qui est une femme d’une profonde gentillesse , les parents de Théodore avec qui j’’échange aussi , et mon Jérémy qui me cherche partout , Jade et ma nièce Pauline venues aussi , bluffées , conquises
C’est unanime
Grandiose, époustouflant, que des éloges sincères et poignantes
Faut oser le dire, on a encore franchi une marche de plus
O heures trente, je file me changer dans le vestiaire désert, c’est bizarre, avant de retrouver la troupe en train de picoler et manger à l’auditorium
Je passe d’un groupe à l’autre, de beaux gestes, voilà et avec Pierrot Bâton, Gwen et Tristan, on se dit qu’on forme une sacrée belle équipe, soudés, vissés
On débriefe, on prolonge, je ne mange pas, c’est comme ça, juste un verre de rosé, une tranche de cake
C’est bon, savoureux d’être là
1h45, je remonte sur la scène une dernière fois, les techniciens démontent, je me mets d’accord avec le gardien hagard pour récupérer les plats de Paul restés dans le frigo, faut penser à ces petits détails là aussi …
Une dizaine de fêlés sont assis sur des chaises oranges, faudrait se séparer, faudrait se dire au revoir
On ne peut pas ….
Ellen est partie en vadrouille avec ces copains de chœur
Sur le parking de l’auditorium, on chante Rabbi Jacob aux derniers musiciens de l’harmonie
Allez , après l’after , on refait un after , on trouve une bonne maison, des bulles , des fondants restés dans le fond du sac , on se défoule , on est bien , resserrés dans les canapés de cuir , de 180 en fini à dix , quand même un peu bruyants
3h30
Je dépose Pierrot dans son quartier, y’a un jeune qui traine encore dans la rue « même pas peur !«
Je rentre à la maison, Ellen cause dans la voiture de Sofia
Impossible de rentrer, la clé est sur la porte à l’intérieur, je tambourine et réveille Jérôme
Le chaton est affamé, Ellen lui donne un biberon
J’envoie quelque SMS
Je monte, Jérôme est réveillé, on débriefe encore, il est complètement séduit par notre spectacle, me dit que le vocal a encore monté d’un niveau, il aime, vraiment …
Faut dormir
Désolée pour ce long billet, mais la soirée a duré 12 heures ….
D’abord, il faut trouver un thème, et sélectionner environ 25 titres, c’est Théodore qui s’y colle, il fait ça bien
Puis présenter le projet à la troupe, un très gros projet, avec des projections sur écran géant …la recette est écrite, il faut la cuisiner
Découvrir, puis apprendre durant l’hiver les chansons, en parallèle monter le projet, épaulés par un bon régisseur professionnel, les membres du CA planifient, répartissent les tâches ….
Sélectionner en douceur une soixantaine de choristes qui feront partie du petit chœur, pour interpréter trois titres
Notre pianistefou bosse les arrangements
Se caler avec l’harmonie qui sera de la partie, la captation son ….
Puis, monter la mise en scène, faire des « castings « de danseurs, de solistes.
Et répéter, tout en menant la tournée du spectacle de l’année d’avant
Affiches , tenues de scènes , programmes , logistique , organisation , droits d’auteurs , courriers , réunions et innombrables mails de concertation
Soudés, solidaires, on y croit !
Trouver les tenues de scènes, la robe noire, les bonnes chaussures, la lingerie qui va avec, les bijoux, regarder le calendrier, les échéances
Tempérer les tensions, garder le fil, toujours.
Après des heures de répétitions et de mise en scène, se convaincre qu’on sera prêts le jour J
Le jour J
Le 23 juin 2012
Salle Polyvalente
Des amis, ma famille, billet en poche
Beaucoup d’excitation, stress, rigolades, et grande complicités
C’est officiel, Vanessa et Johnny (Deep) se séparent, à l’amiable
C’est quand même un peu triste, on y croyait tous à cette histoire là
Bon, Johnny Depp est libre, qui c’est qui le veut ?
Allons, je ne vais pas vous bassiner en ce vendredi matin avec des pipoleries planétaires, non, je sais que vous l’attends tous, le billet sur l’actualité mayennaise
Alors, il s’en passe par chez nous des faits divers pas ordinaires
Macabre
Un corps en décomposition a été retrouvé sur les berges du St Nicolas par un pêcheur, c’est glauque, j’admets … je passe les détails
Etourderie
Un chirurgien a oublié sa pince dans l’utérus d’une patiente, il aura fallu presque un an avant d’identifier la cause des douleurs de la pauvre dame, ra !!! Y’en a qui font pas attention à leurs affaires, ils ont intérêt à avoir une bonne assurance dans ces cas là
Insolite
Connaissez vous la cuisson du gigot bitume?( Antiblues , clique sur le vert pour en savoir plus si tu es curieux et pas pressé )
Ah, je sens que notre JMB va nous offrir un commentaire détaillé de ce rituel de fin de chantier pratiqué par les gars du BTP !
Faut pas être pressé, comme son nom l’indique, la viande est cuite dans le goudron qui au sera porté en ébullition
Une entreprise locale s’est lancée et plus de 200 personnes se sont régalés, il devait être gros le mouton quand même
Evidement, c’est notre Paul qui a surveillé tout ça de près, et m’a-t-il dit, « ça s’est bien passé «
Politique
Notre Député a donc été réélu, les lavallois lui ont envoyé un message clair pour les municipales, 60 %, ca laisse pressentir de bonnes choses pour 2014
Dès le lendemain, ça s’agite de l’autre bord, avec des yakafokon
Allons messieurs, pas de grabuge, vous risquez de tout faire faire sauter avant le top départ
Y’a que notre maire , c’est un homme de terrain , voilà , il est présent , on le connait , on le croise , pour le reste , c’est de la gestion interne pas toujours simple mais le capital sympathie est là , il reste avant tout dans la proximité , c’est tout , ça se travaille , c’est le prix à payer
…
Culture
Un jeune humoriste est venu mercredi à la Salle Po, il a eu de la chance qu’elle soie libre, bref, le prénommé Kev' Adams est parait il la star des collèges, et des lycées
Jamais entendu parler, c’est là que je vois que je vieillis … pas grave, il en faut pour tout le monde
Voilà, c’est tout pour aujourd’hui
Ça bouge en Mayenne !
Edit du matin : Monsieur Notmaire est ministre , et ben ça alors !
Carla et Juliette sont allées acheter ensemble une jolie robe chez Zon, elles étaient heureuses parce que les robes en question étaient belles et pas chères, là bas, elles en ont repéré une qui parait il m’ira bien
« On voit bien Jeanne la dedans ! «
C’est gentil de penser à moi
Elles ne sont pas amies, elles se connaissent par le travail, se respectent l’une et l’autre, et ont toutes deux une amitié commune avec moi, je sais que ça les a rapprochées
C’est un peu pareil dans le blog, parfois on a peu d’attirance pour un blog, mais du fait qu’il soie dans la liste de liens d’un aminautes, on a beaucoup de sympathie envers le blogueur en question
L’inverse aussi d’ailleurs peut se produire, convenons en
Je n’ai pas besoin de robe, j’en porte rarement, je n’ai aucun mal à résister à la tentation de l’achat même si j’ai flairé la bonne affaire
La robe, de toute façon, ne m’irai pas
Chez Zon , je tente de me vider un peu la tête , je pense à ma mère , et ses soucis de santé du moment , il faudra faire des examens pour savoir , peut être une opération , je me sens toujours trop loin , il faudrait que j’aille la voir , je fais au mieux , mais ce n’est guère suffisant , je le sais
Et là , je tombe nez à nez avec le journaliste qui est venu faire un reportage l’autre soir
Il est … bel homme comme dirait ma mère
Je ne dis rien, je le regarde, voilà, c’est tout, pas trop non plus, faut pas se pâmer pour lui quand même
A Barcelone, j’avais pensé à Mahie en voyant ces santons, je me souviens bien, elle nous en avait parlé cet hiver, c’est rigolo de penser aux autres, comme ça, juste devant un objet
Mes journées sont fouillis, remplies de visites, de messages postés de ci de là, des signes qui me font énormément plaisir ….
A la jardinerie , la caissière craque pour mon bijou de sac , c’est drôle , elle le trouve joli , j’ai envie de lui offrir , comme ça , mais bon , j’ose pas …
Comme je n’ai pas osé dire merci au journaliste pour l’article, après tout, il a fait son travail, et il avait envie d’être tranquille chez Zon
J’ai donné des conseils à ma coiffeuse pour l’endormissement et les réveils nocturnes de son fils , y’a pas de raison ,elle était contente , et j’ai quelques connaissances , alors j’aime bien les partager , les gens n’abusent pas , non , ils ont besoin juste de petites lumières , alors voilà
Ce billet est un vrai fouillis aussi, allons, je n’ai même pas trop envie de relire, ça passera comme ça
Juste , sur le lien de la vidéo , voilà , oui , on voit bien la Jeanne et ses amies , Carla , Bérénice , Mélusine … qu’est ce que je les aime ces nanas là !
En début d’après midi , je suis allée ce jour là faire un petit tour dans un vide grenier , j’ai encore trouvé des verres , à un moment donné va falloir arrêter mais 7 euros le tout , que voulez vous , je ne pouvez pas les laisser ( ils sont petits , Jérôme les aime beaucoup )
Y’avait la course cycliste, il en a fallu des détours pour rentrer, impossible de prendre le chemin du bureau de vote, tant pis, j’y retournerai avant la fermeture
A la maison, j’ai lavé les jolis verres, étendu une lessive, et j’ai commencé sérieusement à désherbé
Il faisait beau, pas trop chaud, le temps idéal
J’étais bien avec ma brouette et mes gants noirs
Puis nous sommes allées voter avec Ellen
A mon retour, j’étais plus que motivée pour continuer à désherber, assise sur le banc derrière la maison un homme s’est présenté à moi
« Tu médites ? «
Ce n’est pas vrai, Anatole !!! Je lui ai sauté au cou tellement j’étais contente de le revoir
Quelle belle surprise, j’étais heureuse, mais heureuse vous ne pouvez pas savoir
Cela faisait au moins un an et demi que nous n’étions pas vus
Il vient comme ça, je ne le contacte presque jamais, il change de numéro de portable très souvent
Nous avons admiré la véranda, pris un thé sur le terrasse, et parlé, tous les deux, avec de temps en temps Rose qui aime de plus en plus discuter avec les adultes
J’ai connu Anatole en 1982, déjà 30 ans …
Nous avons reparlé de notre passé, de ces liens formidables que nous avons tissé dans les années 80, constatant avec bonheur qu’ils nous avons changé la vie
J’ai appelle Jérôme pour qu’il nous rejoigne, il était parti chez Jade pour bricoler dans leur nouvelle maison
Nous avons mangé des tartines de sardines avec un Muscadet frais au soleil
Et le petit chat rodait sur nos pieds, Anatole l’a pris sur ses genoux, il était …. Attendri
Alors, je lui ai demandé si il voulait l’adopter, il n’a pas hésité longtemps
« oh ben d’accord ! «
On était tellement contents de savoir notre greemlins en bonne mains, et devenir manchot
Il nous avait donné une lapine géante, des pigeons, une poule autrefois, mais il n’avait plus d’animaux depuis qu’une vilaine fouine avait saigné tous ses volatiles
Anatole vieilli bien, je l’avais vu à la télé il y a quelque temps, et là, je l’ai trouvé frais, heureux, libre, je lui ai dit ….
J’ai raccompagné mon vieil ami à sa voiture, l’odeur du jasmin en fleurs était renversante
Nous nous sommes quittés contents
Je passerai chez lui en Juillet, pour lui donner le chaton
Il était déjà 21 heures , je n’ai pas regardé les résultats , j’ai juste vu que notre Député était réélu , ai chargé Pierrot Bâton de lui faire une bise de ma part
Je suis depuis quelques années réconciliée avec les Dimanche
L’été c’est l’époque des festivals , courses cyclistes , manifestation diverses qui demandent tout une organisation , sécurité , logistique , et pour cela il faut appel aux bonnes volontés , ceux que l’on nomme les bénévoles
La plupart sont investis, parfois surinvestis même, vous le savez, il y a les travailleurs de l’ombre et ceux qui sont … dans la lumière
Pour distinguer les organisateurs, il est bon de leur remettre des accessoires
Le badge, ou le pass autour du cou, c’est le truc officiel, ça donne accès à tout
Le sifflet, ça peut servir, mais avec modération
Le must , c’est l’oreillette , le talkie walkie , ça fait espion , garde du corps , vigile , c’est encore mieux de porter veste noire et chaussures cirées
Le gilet fluo, indispensable pour être reconnu
Un bon pour une boisson gratuite, ou un sandwich, une portion de frites (au choix)
Le tee shirt « spécial staff « avec logo official du festival, rien à dire, c’est collector
La casquette, ou le bob, un peu ringard, mais qui a eu son temps.
L’accessoire, change l’homme ou la femme, il se retrouve parfois dans un rôle qu’il mène avec zèle, à l’affut des fraudeurs, ils sont là pour guider mais peuvent parfois se révéler sacrément directifs
Pas simple de faire partie des organisateurs, je sais … y’a toujours de ronchons, des étourdis, des curieux, des pressés, des rebelles …et heureusement, beaucoup de gens très disciplinés
L’autre jour, dans notre ville, il y avait une course cycliste, les rues étaient déviées, c’est normal, mais bon, y’en a qui s’engouffrent
Et là, un brave gars, c’est mis à vociférer comme un dindon, faut dire qu’il était équipé
Il portait,
Un badge
Une casquette,
Un gilet fluo
Et un panneau
Là, le panneau ….. C’est le must
Je n’ai pas osé m’approcher, j’ai filé, j’ai presque eu peur ….
Depuis trois ans, en Juin, le pavot pivoine m’offre de jolies fleurs
Je n’ai jamais planté ce pavot, ni mis de graines, il est arrivé là un beau jour, peut être grâce au vent, ou aux oiseaux
Louis avait fait de belles photos du seul plant du jardin
J’avais gardé des graines et les avais semées à la volée, mais le plant était rabougri et serré, il avait séché, m’offrant moins de grâce, et aucune fleur
Cette année, je n’ai rien fait
Et le pavot a invité quelques amis dans mon jardin
Modérément
Il ne s’est pas imposé ce pavot, il n’a pas poussé les autres en braillant, « regardez, c’est moi le plus beau «
Faut dire que les roses, les lys et les pivoines lui auraient fait comprendre gentiment qu’il n’est pas le seul hôte du jardin de Jeanne
Il a su se faire petit, apprivoiser son entourage, se faire accepter au milieu des autres plantes
Faire sa place
J’ai une aversion pour les « poussez j’arrive « , les « tout beau , tout neuf « , les « tout feu tout flamme « , je n’aime pas qu’on m’envahisse , et surtout que mon « déjà -à « se retrouve mis à l’écart
Il y a peu de temps, j’ai réalisé combien l’organisation de mon espace dans les lieux publics était important .Pour exemple, je n’aime pas que les documents de mes stagiaires soient posés sur ma table de travail, j’ai besoin de sentir la distance ; à la pause café , j’apprécie d’être seule dans la salle , la présence occasionnelle d’une collègue , pas plus ..
Dans mon jardin , j’aime sentir la hauteur des murs de pierres me protégeant de tous les regards , j’apprécie d’être isolée , tout en prenant soin de laisser en permanence la portail ouvert , ce qui annonce à l’autre ma présence et ma disponibilité complète
Les plants sont répartis partout, dans les petits coins, sagement ils attendent leur tour pour la floraison
Même au fond du jardin, tout près du Pierre de Ronsard fraichement bouturé
Il me plait ce pavot, il ne pavane pas ….
Est-ce une plante toxique ? Je ne sais pas, je ne la mange pas …
Les toxiques … eux sont non seulement envahissants, mais ils font mal, déstabilisent, faut mieux pas les laisser gagner du terrain, les écarter bien vite, ne pas leur donner de place au soleil
Les laisser dans l’ombre, jusqu’à ce qu’ils se calment, ça peut parfois prendre du temps
Notre expo vente fut un vrai moment de rencontres et de retrouvailles
Dès 12h30, Juliette en avant première sonnait à la porte, et se sont succédées jusqu’au soir des femmes qui ont répondu à l’invitation avec simplicité et chaleur
Un petit café, des essayages, des papotages
Pour l’une, ravagée par le chagrin, ce fut un tout petit moment de douceur
« Tu nous appelles, on arrive !!! « Quel enthousiasme du part de ses trois femmes que j’ai connues il y a une dizaine d’années pour un projet fabuleux et audacieux qui continue à exister
Je suis toujours mitigée avec cette démarche là, culpabilisant de faire des tractations financières avec des copines, mais je ne peux pas les donner mes créations, ce serait délicat.
Et tout est simple , la plaisir de porter du « fait maison « , un petit conseil , et voilà , le bijou joue son rôle , il finit une tenue , l’accessoire pour la scène , le petit plus pour la fête ou pour le quotidien
J’ai été fortement émue de voir Olga, femme forte, se battant coute que coute contre ce foutu crabe, souriante, vivante
Je saisis combien il est précieux de se sentir entourée de femmes, femmes aux vies bien remplies, croisées de part et d’autres , femmes au cœur tourneboulés, femmes fragiles …
Traces de nos moments vécus depuis 18 ans, liens toujours solides …
Cela me ramène toujours et encore à l’essentiel, oser, provoquer, être disponible même si au fond on ne peut pas résoudre les tracas de l’autre
La vedette du jour c’était notre créature étrange, photographiée par beaucoup telle une star de cinéma
La Mimine a cessé de nourrir ce chaton depuis quelque jour, sans explications, pas de courrier, pas de plaintes, rien, le pauvre s’est vu tout simplement privé de lait et de câlins de sa mère
Bon ….
A tour de rôle on lui donne le biberon, tout va bien, il s’attache à nous, et il braille quand son estomac est vide
C’est une étrange créature , une sorte de mutant , son faciès me rappelle la Bête incarnée par Jean Marais dans le film de Cocteau , il est rond , vu de haut , on dirait une taupe
C’est peut être un croisement de raton laveur, chat angora et ragondin
Je n’ai jamais vu un truc pareil
Il n’est pas beau, il n’est pas laid, comme le tofu ou la mozzarella ne sont ni bons, ni mauvais
On l’aime bien
Elise en est tombée folle
Elle lui a fait une petite séance de shiatsu
J’en ai programmé une aussi la semaine prochaine, c’est un grand pas en avant pour la Jeanne, les massages, thalasso et tout le soin tsoin ce n’est pas pour moi, mais si ça peut me détendre un peu avant le jour J, c’est du bonus
Mon cœur palpite déjà … sans ces grands moments de VIE, tout me semblerait fade
Vers 22 h, avec Marie Camille nous étions vannées, mais tellement heureuses d’avoir une fois de plus animé cette journée là
L’info ne vous a sans doute pas échappé, c’est l’anniversaire de notre Johnny, il fait son stade de France, espérons que la pluie ne sera pas de la partie comme on dit, c’est moche pour le matériel et pour les fans
Mais c’est surtout l’anniversaire de Solène !
Happy birthday ma belle !
Avec Marie Camille, nous exposons dans la journée et la soirée bijoux et créations diverses
C’est toujours l’occasion de retrouver des copines, de tisser de jolis liens, de partager tout simplement nos passions
Pensées pour Coumarine qui attend cette journée depuis si longtemps ...
Bonheur partagé avec notre Chriss et son îlet qui savoure l'immense bonheur d'être grand mère
Ce matin là, j’ai une heure devant moi pour quelques démarches, ça devrait aller...
Je dépose ma Rose au conservatoire et descend sur le parking de la Médiapole
Faudrait mettre des sous dans la boite, je ne suis pas motivée, y’a des jours comme ça …
Direction l’office de Tourisme, je relance pour un panneau extérieur, ce sera possible
Faut qu’on remplisse Bercy, la Salle Po
En sortant, de l’autre côté de la rue, Léa me salue de la main, je l’attends pour papoter un peu
La pauvre, elle s’est gamellée dans la rue la veille, elle a le genou égratigné comme les gamines en jambes courtes (ma mère disait ça quand on enlevait les collants)
On cause un peu, et je traverse une autre rue
Une voiture noire passe devant moi au feu, le conducteur me salue comme un gai luron
Ah mais c’est Basile !
Salut !
Il me reste à trouver un cadeau de fêtes des Pères pour Jérôme et un cadeau d’anniversaire pour Juliette
Dans la boutique de vêtements, j’évite la pie qui chante, je trouve facilement un polo à manches longues, pour la taille j’ai pris un vêtement de mon homme, certaine de ne pas me tromper
En payant j’aperçois Coralie qui passe dans la rue
Parfait, il est temps que j’aille chercher Rose, faut ne pas trainer
Je retourne au parking et là, hep !!! Au secours, poussez-vous, des hommes en uniforme qui rodent
Je monte vite dans ma clio, et rien sur le pare brise, chanceuse la Jeanne !
Au loin, j’aperçois Basile qui cause avec Coralie, c’est normal, c’est sa femme
Le temps de faire ma manœuvre, le sacré Basile qui cause avec d’autres gens, m’aperçoit
« oh Jeanne , ça va ? faut que j’appelle Jérôme , blabla ....« ma voiture gène , faut que je dégage de là , à quelques mètres , je vois Maria , elle rigole de la scène , Basile parle assez fort
Vite, il est grand temps pour Rose, elle attend sagement, c’est bien, elle n’a pas été kidnappée
Nous redescendons toutes les deux vers le centre Ville
A un feu, j’attends, je jette un regard à gauche, un beau monsieur me sourit assis à coté du chauffeur
Il baisse sa vitre , me salue d’un madaammmmmmmmme « , je lui lance un « bonne chance pour dimanche , on est confiants « il me répond , « faut qu’on se mobilise ! »
Moi , je me mobilise pour remplir la salle Po mais j'ai rien dit
Toujours aussi charmant monsieur Notmaire, rien à voir avec le fait que ma clio ait était épargnée par un papillon, n’allez rien imaginer …
Bon, dans tout ça, qu’est ce qu’elle a eu la Jeanne pour la fête des mères ?
Ça !
Si, et en plus c’est moi qui l’ai demandé et je ne le regrette pas !
Au moment où j’arrive devant la boutique, Elise a tourne la clé pour ouvrir la porte vitrée
« Oh Jeanne, comme je suis contente !!! Elle m’invite à rentrer dans le magasin qui sent bon
En quittant Sapq en juillet dernier, je m’étais rendu Porte de Clichy à l’invitation d’Elise, la cousine de Sarah qui vivait en coloc dans un appartement avec une petite cour
Elle avait invité plein d’étudiants et de jeunes salariés pour la plupart végétariens, nous avions gouté le tofu, des graines, des trucs bizarres ni bons, ni mauvais
L’ambiance était sympa, les jeunes étaient ouverts à la discussion, la soirée fut agréable
Vers minuit, avec Sarah nous étions rentrées porte de la Villette à l’opposé de son quartier
Et puis Maggie m’a dit que sa nièce, Elise était installée dans notre petite ville tranquille en duo avec un neveu de Peter dans cette boutique de produits bio qui avait fermé
En parallèle, Elise en auto entrepreneur exerce le shiatsu
Elle a vécu en Inde lorsqu’elle était étudiante , il en faut du courage pour partir dans un pays aussi éloigné de notre culture, j’avoue que j’en serais malade de voir ma fille à 20 ans s’installer là bas, j’aurais du mal …. J’avoue
Elise a changé son projet professionnel à son retour, elle est déterminée
C’est une jeune femme rieuse, d’une grande sympathie, dynamique et discrète à la fois
Elle m’a fait visiter sa petite pièce presque aménagée, enthousiaste dans son projet
Ce n’est pas simple de s’installer dans une petite ville, mais Elise est confiante, elle va intégrer des groupes pour faire de nouvelles connaissances
Je lui ai proposé de venir voir nos répétitions de septembre, on recrute toujours dans la troupe
Peut être qu’elle aura franchira le pas
Le soleil était revenu, généreux sur le bord de notre rivière, l’écluse toute fleurie de jardinières est ravissante, je me sens légère dans ma petite ville bien tranquille