Loin de moi l’idée de me plaindre, mais ça tourne à plein régime encore pour la semaine
Un lundi qui démarre au quart de tour, avec moults petites choses à régler et surtout trouver l’énergie pour motiver mes stagiaires qui démarrent dans la profession
Loin de la maison , happée par des petites plaintes et autres lamentations , la nuit tombante et les habits de lumière qui ont envahi notre jolie ville , les yeux de ma Rose éblouis , le froid qui témoigne pour de bon qu’il ne faut pas espérer penser au printemps , je me retrouve comme transportée dans un autre temps devant l’hôtel de ville magistralement métamorphosé
J’oublie le rythme, je regarde l’heure tout de même et tombe presque nez à nez avec Virginie, c’est trop fort ça, ça devait arriver.
Au retour une lettre de la réunion m’attend, c’est notre Chriss qui m’envoie ses billes florales
Merci ma belle !
Et juste avant d’aller préparer le diner, je découvre tous vos commentaires sur le billet de ce lundi
Vous êtes mon carburant, ma force, mon topset (barre de chocolats des années 70)
Je serai un peu absente de vos blogs, juste le temps, le temps, et puis rien d’autre ….
Je ne résiste pas à vous raconter cette histoire entendue hier
Alors que nous échangions avec les stagiaires sur les relations entre l’enfant et l’animal, l’une d’elle me rapporte cette histoire :
Un chat s’est couché un jour dans le landau d’un bébé et a léché fortement sa fontanelle, jusqu’à la trouer et il a avalé son cerveau !
Je ne savais plus quoi dire
J’ai quand même insisté sur ces fameuses légendes urbaines qui se colportent depuis des décennies, celle là, on ne me l’avait quand même jamais faite
Goulu ce chat !