En cherchant de temps à autre dans mes archives des liens de billets, je m’arrête pour relire quelques commentaires
Je ne peux m’empêcher de repenser à ceux qui venaient presque quotidiennement déposer des mots
Que sont ils devenus ?
Ils ont pour la plupart laisser leurs blogs en jachère, ou fermé brutalement
Je pense à Elle, si attachante notre blogueuse corse, à Louise, qui passe en douce ici, de temps à autre, j’espère vraiment qu’elle continue à écrire, ailleurs
Et Jean Pierre, avec ses bons mots, pourquoi a-t-il subitement quitté la blogosphère ?
Parmi eux il y avait Barbie, décapante, elle a peut être trouvé l’âme sœur
Et toi Carl ? Tu viens de temps en temps, j’ai du mal à ne plus avoir de petits signes ?
Pourtant je suis chanceuse, vraiment heureuse d’avoir la visite matinale de Risette, et Didou qui passe de temps en temps, je les retrouve ailleurs aussi …
Quand on s’éloigne de la blogosphère, il est difficile d’y revenir, d’autres prennent la place
Mais il y a les fidèles , vous , Elisabeth ,Ksénia ,Cigale , Faye , Plume , Antiblues , Joe , Tagada , Mlaféechochette , Anne ,Sapq ,Vonric …… tant de messages offerts , tant de plaisanteries , tant de complicité
C’est comme dans la vraie vie, il y a les passants, ceux que l’on croise dans nos loisirs, au travail, qui disparaissent de nos vies, et qui ressurgissent de temps à autre, ou jamais
C’est bon de savoir que d’autres viennent en douceur, apprivoisent peu à peu mon univers, s’y attachent
Et je redis combien les amis de la Vie me sont précieux aussi ici
Pourquoi commenter un billet ?
Pour laisser une trace de son passage, pour faire plaisir au blogueur, ou tout simplement parce qu’on a envie de dire des choses, tantôt futiles, tantôt profondes
Il m’arrive parfois de laisser des commentaires sans réponse sur des billets anciens, je m’en excuse, et sachez que même si vous arrivez en fin de journée ou quelques jours plus tard, chaque mot déposé à sa valeur
Osez aussi répondre aux autres, croisons nous, provoquons cette vraie interactivité qui fait vivre cet espace
Sans commentaire, chaque billet serait un plat sans épices, vous constituez tous les cuisiniers de mes anecdotes, avec ou sans sel !